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Opinions et critiques

2 mars 2011

Le pain bénit des lepénistes arrive d'Afrique: Marine exulte!

Marine Le Pen, l'égérie du FN a proposé ce premier mars à la radio, que l'on repousse dans les eaux internationales les migrants venus d'Afrique du Nord

 

En démocratie, la politique est l'art de supprimer les mécontentements. (Louis Latzarus)

 

La fille de son père

On a souvent entendu dire que Marine Le Pen se démarque de la politique de son père, c’est inexact! Elle utilise les mêmes pratiques simplistes et populistes. Souvenons-nous comment Jean-Marie Le Pen arriva sur la scène politique française. Après avoir flirté avec Poujade,  il fut appelé en 1972 à la tête du Front National, avec pour mission de médiatiser ses idées, en particulier celles qui fustigent l'immigration. Il est connu pour ses propos choquants (en 1962, il déclare avoir pratiqué la torture «par nécessité» lors de la guerre d’Algérie,  une autre fois il déclare que les chambres à gaz sont «un point de détail de l'histoire», etc). C’est en 1983, à Dreux, dans l’Eure-et-Loir, où l’on votait classiquement communiste, que le FN fera réellement entendre parler de lui. Il y remportera sa première victoire électorale, et co-gèrera la ville avec la droite classique (RPR-UDF) suite aux élections municipales. La liste FN est alors menée par Jean-Pierre Stirbois et réalise un score extraordinaire, dépassant 16 % des suffrages au premier tour.

 

Les électeurs de l’extrême-droite

Il est connu que classiquement une population donnée vote quasi automatiquement vers la droite dure dès qu’elle est plongée dans une angoisse liée à l’emploi ou aux acquis sociaux. Les électeurs lepénistes se retrouvent en particulier dans les couches pauvres de la population. En effet, ces couches sont perméables aux discours chocs qu’elles comprennent mieux car ils sont directs et de poids. Elles absorbent très rapidement les slogans faciles, car ce sont les premières à souffrir des problèmes économiques et sociaux, comme le chômage. De ce fait, lorsqu’on désigne du doigt un bouc émissaire (l’immigré) en précisant ce que l’on a à gagner en le combattant, et bien cela fonctionne. Marine Le Pen fait exactement la même chose que ce que son père fit par le passé.

 

Bien à propos !

Marine a bien de la chance! Grâce aux malheurs des demandeurs d’asile, elle a l’occasion de plaire au peuple. Les problèmes sociaux, le manque de travail dû en particulier à la délocalisation massive des entreprises, le surendettement et la récession qui n’en finit pas, tous ces problèmes exaltent l’esprit de gens apeurés à l’écoute de celle qui leur montre qui est le prétendu coupable de tous ces malheurs et quelle est la solution. Le peuple se laissera conduire par celui ou celle qui saura se montrer fort(e) et qui proposera des solutions directes, même si elles ne sont pas très morales.

 

La droite sarkozienne et un FN survolté...

Ce n'est pas ce qui empêchera Sarkozy de continuer de s'acoquiner avec le clan Le Pen, après l’un ou l’autre petit discours faussement indigné, bien entendu. Il a besoin des voix du FN et le discours lepéniste lui sert. Et voilà que la misère touche les pays nord-africains qui veulent se libérer d’un joug trop long et trop lourd. Beaucoup d’africains doivent fuir, et beaucoup vont logiquement tenter leur chance chez les voisins mieux lotis et qui furent, c’est le cas de la France, leur colonisateur. Alors les quotidiens s’enflamment, les blogs éclatent... mais pas toujours d’indignation! Certains disent qu'ils devraient lutter chez eux pour leur nouvelle démocratie et qu’il n’y a de toute façon pas de place en France étant donné l’énormité de la dette, etc. Les vieux clichés reviennent et l’extrême droite et, partant, la droite, en profitent. En fait, dans les esprits, hélas de plus en plus nombreux, le slogan se forge par lui-même et se simplifie à l’extrême: «qu’ils retournent chez eux et arrangent leurs problèmes, nous avons les nôtres que nous arrangeons par nous-mêmes». La logique sommaire du français lambda rejoint les slogans simplistes du FN. C’est la peur et la solution à la peur qui se conjuguent.

 

Et la démocratie dans tout cela?

Il n'y aura de démocratie dans ces pays pétroliers que selon les règles imposées par les pays occidentaux. Ne nous leurrons pas. Les pays riches ne vont pas les laisser avec tellement d'énergie fossile dont ils profitent depuis toujours et dont ils ont besoin plus que jamais! La Françafrique est loin d’être morte. Les hordes de pauvres apeurés et appauvris font le bonheur de Marine Le Pen qui peut exprimer bien fort son refus à ce que tout le monde redoute en silence, juste au moment où 2012 commence à démanger la classe politique. Et si l'on tient compte de tout ce que l'Afrique du nord a donné à la France, de gré ou de force, et bien la France a le devoir historique de les accueillir. Bien sûr on en acceptera quelques uns au nom d’une traditionnelle philosophie poudre-aux-yeux, mais ce sera tout: il faut continuer de plaire à son électorat «bonne-conscience». Alors que reste-t-il au français moyen ? Et bien savoir deux choses : d’une part que les acquis sociaux vont s’amenuiser progressivement en France, c'est inéluctable et ça n'a rien à voir avec les rébellions nord-africaines; et d’autre part, que nous verrons une reprise de la droite dure, car les charognards font de toute chair bonne chère. Et même si un DSK venait à passer, avec une couleur qui ne représente plus rien, on verrait un cirque quelque peu semblable se produire. A quand les français dans la rue pour demander plus de démocratie? Ça viendra!

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13 février 2011

La France se tâte le "poux" ou DSK, une première opinion brève

 Dangereux  

Quelle est votre opinion sur Dominique Strauss-Kahn ?

En tant que personne, je le trouve sympathique, trop peut-être. Mais les politiciens n'ont-ils pas l'air tous sympathiques ? En tant que politicien, je ne me souviens pas qu'il ait fait quoique ce soit pour la France ou le monde...

Que pensez-vous de son travail au FMI depuis 2007 ?

Difficile à dire ce que fait exactement DSK au FMI , puisque nous savons à peine ce que fait exactement le FMI... La question devrait être plus profonde : voulons-nous encore un monde mené à la baguette par FMI, BM, OMC , etc...
Toute personne, de gauche ou de droite (cet axe n'est plus que de la poudre aux yeux, les socialistes sont néo-libéraux et les libéraux font dans le social) qui reste en accord avec la simple existence du FMI et de la BM , se condamne et condamne le monde à suivre sa voie de destruction et d'autodestruction sous l'égide de spéculateurs dominants. Ce que fait comme travail DSK au FMI ne vaudra qu'en fonction de la valeur que l'on accorde au système actuel. En ce qui me concerne, c'est une personne extrêmement dangereuse, qui n'aura aucun scrupule à vendre l'Europe au nouveau marché transatlantique auquel sont également favorable Sarkosy, Berlusconi ou Merckel...

Aimeriez-vous qu'il soit candidat en 2012 ? Pourquoi ?

Certainement pas et je ne vais pas répéter ce que j'ai dit au-dessus. C'est une personne dangereuse qui ne fera que continuer de favoriser un monde en piteux état, une chute lente et progressive de restes de démocraties, de vente aux enchères des pays déjà dans une souffrance honteuse, etc. S'il y avait une rubrique "très défavorable", c'est là que je serais allé donner mon opinion. Maintenant la grande question est : qu'avons-nous à mettre au pouvoir qui n'entre pas dans ce schéma ?

Publié le 13 février 2011

Vos réactions sont toutes les bienvenues, ici - de préférence -

ou sur le site d'origine: L'Internaute

8 janvier 2011

Bart De Wever et la Belgique: un moineau de mauvaise augure

J'avais l'intention d'écrire une lettre ouverte à monsieur Bart De Wever (dont la traduction du patronyme dans la langue de Molière est « le passereau » ou « le moineau ») , critiquant avec la raison qui lui manque, ses ébats médiatisés, car il ne me suffit plus, comme à tant d'autres, de la stupidité humaine qu'il incarne trop bien. Puis je me suis dit que ce n'est pas important de lui rappeler de nouveau tout ce que l'on peut trouver tout simplement sur le net, si on y est disposé.


Non ! Analysons plutôt ce à quoi ressemble l'oiseau (qui n'est pas un vautour, mais n'en est pas moins rapace). Ce sera l'objet de cet article qu'il me semble bien à propos d'être d'un type fort satyrique.

Pourquoi le faire ? Me direz-vous. Et bien c'est parce que nous les belges et nos plaisants observateurs, sommes tous contaminés par un virus aviaire, les uns parce qu'ils ont cherché a l'être, utilisés dès lors par le vote médiatisé, il y a des gens bêtes partout. Les autres parce qu'ils ont du virus plein la tête bien malgré eux, puisque l'oiseau est dans l'air du temps.

L'important à mon sens, pour combattre un oiseau dangereux, c'est de bien le connaître, car un passereau, même s'il n'a l'air de rien du tout, peut s'avérer être vecteur de virus, comme ceux de l'informatique ou du sida. Du pigeon on s'en méfie, car on le sait, du moineau non. C'est ainsi qu'il nous pigeonne. Donc, je prétends simplement tenter de montrer à un éventuel lecteur comment il est, comment il manipule les gens et où il pourrait nous mener. De toutes façons, s'abaisserait-il, lui, le ptérodactyle des connivences douteuses, dont je ne fais pas partie, à lire la lettre d'un quidam francophone qui ose critiquer son pouvoir, lorsqu'un paquet de frites l'attend au bar du coin pour se bâfrer avec ses potes de la génération des nouveaux prédateurs : sans casquette noire, ni croix de mâchefer .

D'un grand-papa VNV (collabo pro-nazi) et professeur déchu et d'un papa cheminot qui ne pense pas mieux, Bart a reçu les bons gènes virulents qui font de lui un flamingant flamand vrai de vrai. Ses pères ont dû pleurer de joie devant leur gros bébé joufflu jouant avec sa carte de membre honoraire de la Volksunie qu'il lui ont obtenue à la naissance. Il doit certainement l'avoir confié plus tard et avec émotion à son aîné Le Pen lors de leur(s) rencontre(s).


Notre oiseau attaque, dit-il, car la Belgique va mal et doit disparaître, rien que ça ! Mais il est tout seul à le dire, car ceux du CD&V, parti avec lequel il est maintenant acoquiné, n'a jamais lancé de telles assertions et Dieu sait qu'ils sont au pouvoir sans rien faire de bon depuis belle lurette. On peut dire en gros que tous les pays vont mal, surtout en Europe puisque c'est la seule région du monde qui a décidé d'assainir sa dette publique avant toute autre chose, ce qui n'est pas sans déplaire à certains, mais fort de sa « connaissance du passé » dont il se targue tant, car il a étudié l'histoire, il sait lui, et lui seul, que la Belgique doit disparaître et point. Elle doit se « fondre » dans l'Europe. Le plumifère a en plus reçu le don de la sagesse divine : il sait ! Pas les autres, bien sûr, et ses « suiveurs » le font pour d'autres raisons. Il ne parle plus comme au bon vieux temps du séparatisme flamand, non pas que quelques remords l'aient accablé ou que la sainte colombe  lui ait apporté un peu de sa lumière, non, il soigne ses démangeaisons pour son possible électorat « hésitant ». Donc finies les très populistes randonnées en camionnette pour « démontrer aux flamands » tout ce qu'ils paient pour ces mauvais wallons. Il a dit qu'il regrettait, donc c'est oublié. C'est comme son pardon auprès de la communauté juive, il n'a pas pu résister à la tentation de dire une méchanceté, c'est dans les gènes, mais c'est pardonné, car même Dieu fait des erreurs, il en est une preuve flagrante. Son image du pays où il est né est une image déformée par une obsession qui frise la paranoïa, maladie très dangereuse, surtout pour un élu. En effet, voir son pays comme le collage approximatif de deux pièces dont on ne sait que faire au centre de l'Europe de l'Ouest avec comme cerise sur le gâteau un roi, l'a mené à concevoir ce petit pays comme un ensemble nordique d'élus d'un dieu quelconque qui aurait donné à sa « race » des gènes dominants (les amis de son grand-père pensaient aussi la même chose d'eux-mêmes), et des autres, comme les juifs de l'époque, des espèces d'inférieurs mais dont on ne peut se débarrasser ainsi tout de go, modernité oblige, étant les parasites buveurs du sacro-saint sang flamand, conduits par un homosexuel pour qui ils ont voté, preuve parmi d'autres de leur dégénérescence.

C'est que si l'oiseau Bart sait tout, même si de très éminents chercheurs et professeurs de l'université où il n'a pas terminé son doctorat (devinez sur quoi...), ne sont pas d'accord avec lui, les autres ont toujours tort, et lui, raison. Pourtant les 17 et quelques pour-cents de ses électeurs sont très loin de représenter tout le monde, mais il y en a qui sont toujours plus élus que d'autres. On y retrouvera sans nécessité d'y aller voir de plus près : des oiseaux de la même espèce, extrémistes flamingants de tous les « bloks » du coin, généralement en manque de cérébration, puis également des volatiles très crédules et réellement convaincus que la Flandre nourrit le reste de la Belgique. C'est bien peu connaître l'histoire et la réalité. Drôle de discours pour quelqu'un qui dit connaître le passé. Et comme les gens aiment leurs sous, ont peur (tiens ! La peur!) de ne pas recevoir une pension complète tant méritée, n'ont toujours pas avalé que leurs ancêtres aient été malmenés par des bourgeois  de la région flamande qui trouvaient plus noble de parler français, ont un gros souci identitaire avec une langue que personne ne connaît. Mais ils se forcent à croire le contraire. Donc, on suit ce merveilleux sauveur des opprimés que Dieu seul peut avoir envoyé sur cette noble terre de Flandre avec la sagacité et la virulence qu'on lui connaît.


Remarquons tout-de-même que les points noirs sur le visage de la démocratie belge ne sont pas tous des moineaux ou acolytes. S'il y a quelque chose qui ne fonctionne plus depuis belle lurette, c'est bien la démocratie, toutes les démocraties, vidées de leur contenu ! Le belge, heureux citoyen débonnaire, va voter, puis rentre chez lui et n'intervient plus jamais. Il n'en a pas le droit. Mais il a fait son devoir ! C'est ainsi que la bête rampante s'insinue dans les anfractuosités du mur des certitudes citoyennes. Nous ne sommes plus représentés par des élus, nous avons élu des politiciens professionnels  pour leur déléguer nos prérogatives. C'est l'air du temps démocrate, on voit ça partout. Ce n'est pas la même chose et ça conduit à des absurdités dignes de la grosse rigolade d'un parisien niais au sujet d'une blague sur les belges. C'est grâce à cela que monsieur De Wever et sa bande que personne ne connaît, espère arriver aux 30% de votants flamands si les belges retournent aux urnes, sait-on jamais, lesquels, au moment de la vérité, ne pourront plus se dédire. Mais c'est que monsieur De Wever passe en couverture de « P », c'est donc quelqu'un de très important, c'est un « people », on a donc bien fait de voter pour lui, aurait dit Brel, amoureux de son plat pays. Mais monsieur De Wever est un passereau et comme le passereau, il passera. Espérons que ce soit à temps, tant pour ses électeurs que pour tous les autres...


Je voudrais terminer cette diatribe par une petite spéculation dont les tenants et aboutissants pourraient agacer. Et tout le monde. Mais attention : ce n'est pas le résultat d'une certaine science infuse, cela je le laisse à Bart, c'est seulement un peu de science-fiction.

Dans le rôle du comploteur (conscient ou manipulé), je vois bien entendu notre volaille. Mais que fait-il donc ? Tout ça on le sait! Cependant, la théorie du chaos nous indique ceci : le battement d'ailes d'un petit passereau, même grassouillet, pourrait provoquer des tornades. Comment cela ? Et bien, nous allons bientôt dépasser tous les records mondiaux de pays sans gouvernement en terme de durée (le record étant détenu actuellement par l'Irak). La Belgique a d'énormes dettes, comme tout le monde, avec beaucoup d'argent emprunté pour renflouer les banques lors des dernières grandes crises et récessions qui n'en finissent pas de finir, pour aider des pays « cassés » par le même système qui nous cassera très bientôt (la Grèce, l'Irlande, puis l'Espagne et le Portugal). Les emprunts, on peut en faire lorsqu'on a de bonnes notes auprès de ceux qui octroient la finance, ainsi que des avoirs en garantie, bien sûr. Et de l'argent, et bien il en faut, et toujours plus, il y a tant à payer. Toutefois, les analystes du marché, comme le très prestigieux Standard et Poor's, voient d'un très mauvais œil un pays qui se noie dans son absurde guerre de sécession voulue par le nord et le note de plus en plus mal. Un pays sans gouvernement n'est pas un pays sérieux, n'est pas un pays stable. Si en plus des énergumènes veulent le faire disparaître... Plus (ou prou) d'argent prêté, gare, il faut vivre, mais rembourser... et crac, on tombe comme l'ont déjà fait quelques autres pays en Europe. Déflation, débâcle, la Belgique comme l'Italie ne sont plus crédibles dans le monde de la finance et de la spéculation. Plus d'exportations, augmentation des taux d'intérêts, plus de prêts... Bientôt, très bientôt, c'est la chute. Très dure et très longue.

Et puis l'Europe est-elle capable d'assumer l'existence d'un pays qui vole en éclat et qui fait faillite pour le fait de l'existence d'un seul gros passereau virulent mal éduqué (notre héros) ? C'est que cela va sans doutes provoquer une longue suite de « guerres de sécession » et de faillites assorties dans d'autres pays de l'Union. Donc le comploteur (conscient ou manipulé) risque à la longue de faire chuter l'euro et de mettre notre chère bonne vieille Europe à disposition des grandes puissances manipulatrices.

Et tout cela pour un passereau qui bat des ailes...

Attention chers compatriotes flamands, comme dit Roger Bussy-Rabutin : « Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles » et pour l'instant elles semblent vous plaire, mais ça pourrait changer... Ceci me fait penser au groupe de Bilderberg, qui rassemble des oiseaux bien rares et auquel Bart aimerait sans doute être un illustre prétendant. Mais n'oubliez pas que notre oiseau a choisi de naître un 21 décembre, date à laquelle certains prévoient la fin du monde en 2012. Méfions-nous donc des petits oiseaux qui vont sortir !

Mais ceci n'est que de la science-fiction...  (Quoique...)


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